Si Anita est l’égérie du maire Jean Louis Fournier, pour Ramdam, elle est notre muse.
Qu’un mari vole au secours de son épouse, quoi de plus normal ! Avec habileté ? C’est une autre histoire! Aujourd’hui, c’est donc Philippe Lacarra qui prend le relais, et, comme vous pouvez en juger, fort pertinemment. Suite aux déboires d’Anita après sa condamnation en appel pour prise illégale d’intérêt, le journal Sud-Ouest rapporte que Philippe Lacarra, son mari, ajoute deux précisions et de taille : « Madame Lacarra n’a jamais signé de permis au profit de sa propre famille »
Et il a raison !
« Madame DAGORRET [Nom de jeune fille d’Anita] en participant aux votes sur la modification du PLU, en instruisant des dossiers de permis de construire déposés par son mari Philippe LACARRA et en intervenant à différents niveaux dans la procédure d’expropriation pour la création du groupe scolaire, a elle aussi commis des faits constituant l’élément matériel de l’infraction ». (extrait du jugement correctionnel de Mme Lacarra)

Bravo Philippe. Voilà un fin linguiste local dont il faut saluer son expertise en sémantique Azkaindare.
Oui, Il faut appeler un chat un chat. Si c’est lui Philippe qui a profité du permis de construire bricolé, ce n’est pas elle, Anita (qu’il appelle désormais dans l’article de SO « madame Lacarra » Y aurait-il de l’eau dans le gaz de la famille ? D’autant qu’il n’évoque pas les 1600 € d’amende de son épouse. Compte-t-il laisser la malheureuse se saigner, seule, aux quatre veines ?)
Qui plus est, certains, (des jaloux), ont fait courir le bruit que la vente de son terrain lui avait rapporté un pactole de 1 590 000 €, alors qu’il n’a touché que la somme riquiqui de 1 530 000 € . Une misère.
Ramdam tenait à soutenir cette famille en détresse, car ce serait de notre part beaucoup d’ingratitude que de ne pas l’inciter à continuer à déblatérer à tort et à travers. Un tel bon fonds de commerce, ça ne se trouve pas sous le paillasson d’un agent immobilier.
Michel GELLATO