
Extrait du journal des femmes qui résume bien cette loi
Portée devant le Sénat, surprise, notre vaillant député Max Brisson, a voté contre. Voilà qui interroge.
Un sénateur, sous notre République, ce n’est pas rien. Surtout quand il intervient sur une loi qui s’adresse à l’acceptation sociale de nombres de Français, lesquels vécurent et parfois vivent encore dans une condition allant du malaise à la persécution.
Donc, quand Monsieur Brisson, Sénateur, engage sa responsabilité pour assujettir certains de ses concitoyens à la condition de malades, ce ne peut être qu’après une connaissance approfondie du problème et non l’expression d’un sentiment viscéral. Ceci non seulement serait sans valeur, mais répréhensible puisqu’on ne peut exploiter son statut d’élu dans un but personnel, quel qu’il soit.
Or, quand on dénonce une maladie, et dans ce cas plutôt une pandémie, il est hors de question que cette prise de position alarmante ne soit pas suivie d’une mission de guérison. Peut-on imaginer un médecin qui dirait à son patient : « vous avez telle maladie, c’est 25 €, salut et au revoir ».
Impensable ! Donc, fort de son savoir qui lui a permis de s’opposer à cette loi, il est maintenant de son devoir de saisir son bâton de pèlerin et d’aller à la rencontre de ceux de ses connaissances, (par exemple en commençant parmi ses pairs, ceux qui ont tranquillement déclaré leur homosexualité), pour les « guérir ». Y’a du boulot !
D’autant que ce sujet est très sensible et très compliqué : parce que l’appareil sexuel, c’est comme le cerveau : ce n’est pas parce qu’on en a un qu’on a la garantie qu’il fonctionne.
Michel Gellato
BRAVO BRISSON !!!!!
Bernard Casteran
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