Indignation à la CCLO (Communauté de Communes Lacq Orthez) : « Si on fait le calcul, on a déjà donné près de 6,80 millions d’euros et on reçoit 37 000 euros ».
Après Pau et l’agglomération paloise, toutes le deux dirigées par François Bayrou, la CCLO, troisième actionnaire (minoritaire) devait se prononcer sur la vente de l’Elan Béarnais . Sans surprise, les réactions indignées des élus de la CCLO (rapportées par SO du 06 juillet) sont le copie-collé des déclarations amères des élus de Pau et de l’Agglo que RamDam avait recueillies dans son article du 24 juin, « François Bayrou bien dans ses baskets »
Élus dans la presse
Cette négociation, entre les Américains de CSG et notre François Bayrou, négociation secrète rappelons-le, a semé un climat délétère autour de lui. Les collectivités de la CCLO ont été écartées des négociations de « manière scandaleuse » « C’est un homme [François Bayrou] qui a manqué de respect aux trois collectivités de l’actionnariat » « On a tout appris par la presse » (exactement le témoignage de JY Lalanne, le maire de Billère à RamDam soulignant ce modus operandi comme habituel à François Bayrou).
« Nous avons assisté à un passage en force », s’égorge le président du CCLO Patrice Laurent qui ajoute, acide : « Je ne vais pas m’abaisser à téléphoner à l’actionnaire majoritaire [François Bayrou] après le traitement que nous avons subi » Ambiance !
Devant cette hostilité la question que posait RamDam prend toute son actualité : « si les citoyens ne cautionnent pas le résultat, existe-t-il une possibilité de marche arrière ? Par exemple : revenir au projet des frères Darnauzan ? »
Tous cocus et certains contents ?
« On nous a forcé la main » Un peu léger comme raison (ou excuse) pour les 86 élus (sur 96) qui ont accepté le projet de François Bayrou. L’ancien trésorier de l’association, Luis-Miguel Conéjéro résume : « à l’époque on s’est fait hara-kiri pour que l’esprit de l’Élan demeure. Aujourd’hui, on ne parle que d’argent. Tout le reste, c’est fini »

Fini ? Entre ceux qui ne l’ont pas encore compris, « La participation financière de la CCLO [300 000 €/an] n’est pas remise en cause pour l’instant » (Patrice Laurent président de la CCLO), ceux qui voudraient se débarrasser du mauvais souvenir que leur a laissé, moins la faillite de l’Elan Béarnais, que le mode de transaction « secrète », plus les Américains aux commandes, ce n’est pas demain que les discussions de gros sous seront oubliées, …. ni François Bayrou.
Michel GELLATO
à suivre donc.
François Bayou s’est débarrassé de l’Elan Bearnais d’un revers de manche (Projet et réussite d’André Labarrere/Pierre Seillant + Palais des Sports), pour un projet pharaonique d’américains de la finance, que seul un enfant de 7 ans peut croire, et a investi, pour quelle somme, dans un stade de football, équipements, centre de formations, entraînement. pelouse, pour une équipe de 2e division qui végète au bord de l’a relégation.
L’Elan Bearnais avec l’Hippodrome de Pau et le Boulevard des Pyrénées sont les références du trépied touristique de la ville de Pau.
A ce jour le titre de premier magistrat de la ville est-il encore acceptable et un audit sur les finances serait à préconiser.
Mon cœur, acteur de ce club depuis Orthez, veut croire qu’un Phœnix renaît toujours de ces cendres…
Aller un grand Élan, l’ Avenir est vert !!!!!!……
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De plus en plus de Palois demandent un audit sur les projets tout compte fait personnels de Bayrou. Mais avec notre argent. Ce coup-ci, il aura du mal à s’y soustraire. Si l’opposition montre ses poings. Quant à nous, ns ne perdons pas de vue cette aventure tristement burlesque. à suivre
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