Fidèle à son management « délétère », la direction de Trans-Landes RRTL s’entoure de bien curieux avocats.
Madame Sophie Izoulet, à l’époque DRH (Directrice des Ressources Humaines) de Trans-Landes RRTL, interrogée en mai 2023 par la justice sur la légalité du licenciement en 2015 d’une employée handicapée, avouait tranquillement l’avoir mise à pied dans le seul « objectif d’énerver un peu plus la salariée pour partir sur un licenciement ».

Extrait de l’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de Monsieur Eric Chopin, ancien directeur de Trans-Landes RRTL.
Je ne commenterai pas un tel cynisme.
Dis-moi qui tu fréquentes je te dirais qui tu hais !
Assurément, Trans-Landes RRTL sait choisir son encadrement et s’entourer de bons conseils : cette façon d’énerver les salariés jugés emmerdeurs fut « sur conseil de leur avocat ». Voilà un avocat que nous aimerions bien connaitre. Conseiller ce genre de pratique a son client et que ce dernier se dissimule derrière son conseil pour se disculper de ses actions, quel courage ! Qu’en pense l’avocat marseillais maître Thomas Callen choisi par la hiérarchie de Trans-Landes RRTL pour assurer sa défense devant le tribunal de Dax ?
Aujourd’hui, madame Izoulet a été promue Directrice de RRTL, ce qui montre bien que cette façon de gérer les « ressources humaines », en toute haine et sans remords, est une composante viscérale de Trans-Landes RRTL. Mais ce qui met mal à l’aise c’est que cet aréopage n’agit pas en vase clos. Il ne peut opérer à l’abri des regards car le régie Trans-Landes RRTL est aussi sous la tutelle des politiques du Département des Landes et de la Région Nouvelle Aquitaine. Tous ces élus sont au courant et soit soutiennent cette politique, soit l’ignorent. (voir notre enquête parue dans la Semaine du Pays Basque ( https://www.lspb.fr/trans-landes-rrtl-dix-ans-de-desordres-et-les-politiques-qui-regardent-ailleurs/ )
Jusqu’au président Rousset qui se défausse : « L’histoire est ancienne et réglée » (1). Or, de nouveaux procès viennent d’être intentés, dont un aujourd’hui même par une salariée contre madame Izoulet. Bizarre pour une « histoire ancienne ». Et si l’histoire est « réglée » dans l’esprit du Président Rousset, c’est vite balayer les souffrances endurées par les personnes harcelées, licenciées, atteintes dans leur santé mentale.
Michel GELLATO